au secours !
le monstre va avaler la lune
Que ferai-je sans toi Lune au
doux visage
qui depuis
si longtemps suit mes regards des yeux ?
Toi qui fis
de mes nuits seulement un passage
À traverser
sans peur dans le noir sous la pluie
Avec toi
j’ai franchi les mois et les semaines
Découvert
que la forme joue à se transformer
Que la
lumière change quand le coeur se promène
De
l’enfance au couchant, du tout à la moitié
Garde-moi
d’oublier la moindre des merveilles
Qui s’offre
chaque fois que je sais butiner
Le cœur de
chaque rose tout comme les abeilles
Savent de
tes rayons avec ceux du soleil
Faire miel
et d’ombre et de pure clarté
1 commentaires:
C'est très joli ce poème.
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