de sable et d'eau
Faut-il
couler le sable entre tes doigts tremblants ?
Tamiser
sans relâche pour ne garder que pierres
précieuses
évidemment.
Balayer
les poussières
avec
acharnement ?
Puisque
tu ne peux rien sur le passé qu’il dorme !
Qu’il
dorme calmement dans le lit de tes songes !
Et
sur ce sable clos dans l’eau de la rivière
regarde
en profondeur les volutes du vent !
Le
vent n’est pas inepte, le vent est un poète
Laisse-le,
vent du large, vent frais et vent debout
caresser
tes paupières !
Les
années seront fières
de
s’être déposées, fond de teint sur tes joues
et
roses sur tes lèvres.
Hymnes autant que prières
Brumes autant que bijoux.
2 commentaires:
"Puisque tu ne peux rien sur le passé qu’il dorme !"
Si, quand on crée une récit base sur le passée je me rend compte, le perspective change, je deviens plus sage et plus maître de ce qui était et je comprends mieux a quoi cela a pu même servir.
Et, comme toujours, j'adore tes chansons poèmes. Ce matin j'ai parlé de toi et tes chansons en préparant mon discours que je dois donner en Écosse.
Comme on ne peut rien contre cette marque du temps, aussi bien s'en faire une amis.
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