paysage intérieur
derrière les décombres ...
Le paysage, la plage, la mer, un bateau qui passe .. ;
Le paysage est là, devant elle, immuable et changeant. Immense et circonscrit à son regard : la mer, le ciel.
Calme, tangible, à toucher de la main et des yeux, à respirer à longues lampées solides … à en prendre plein la vue, à s’en remplir la panse, ad vitam eternam. Fugitif et donné.
Un bateau passe sur LA mer, c’est LE bateau de l’instant et du jour. Qu’importe d’où il vient, où il va . et Elle, qui est aussi sur le bateau vogueur, sur la plage en exil. Toute et une. Multiple et unie. Enfin !
N’attendant rien et prête à tout accueillir.
Enfin.
1 commentaires:
Les beaux décors sont souvent maltraités.
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