CHANSON
L’une est belle, l’autre est plus encore
Belle est la lune qui nous tend les mains
Bel et bien qui finit bien
Quand la nuit vient
Comme la première fois, tu avais mis tes ailes
Etalées devant moi en une invitation
J’ai volé vers ta jupe, j’ai volé vers tes lèvres
Et le refrain d’amour entra dans la chanson
Comme la fois seconde, le concert prit la vague
Nous étions deux à bord du navire d’argent
Mousse et capitaine, même mât de cocagne
Même soleil de feu couché sur l’horizon
La nuit vint se blottir à l’entour de tes boucles
Quand la troisième fois revint nous accoster
La lune s’est levée, aussi pleine, aussi souple
Qu’à l’entour de nos rêves nous l’avions programmée
A la proxima vez, j’ai perdu les pédales
Et je n’ai plus jamais compté combien de fois
Les jours peuvent venir marcher dans mes sandales
Je n’ai plus peur de rien quand je suis avec toi
Et la lune s’amuse à me changer la voix
Et la lune s’amuse à me changer la voix
* Rendre à César ... et à Gilbert le refrain qui ne voulait pas me quitter jusqu'à ce que je l'appareille avec des couplets
4 commentaires:
j'aime bien les jours qui viennent marcher sur tes sandales..
j'ai trouvé des morceaux de lune parmi les jolis cailloux...
N'avoir plus peur de rien quand on est ensemble, très beau ce poème.
Je reviens de chez les enfants, à Arpajon. C'était le jour des orgues de barbarie. Ils étaient une vingtaine dans le village, le matin au marché et à la sortie de l'église, et l'après midi sur la grand place.
J'adore...
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