11 NOV 2013, 1917
Sète lundi 11nov 2013
Comme en 14 !
L’expression
me vient spontanément après avoir consulté les signets sur la guerre envoyés
par Monique B. Merci Monique pour cette actualisation des
Je
vais à cet album de dessins de 1917 d'Hippolyte Journoud déniché dans le château abandonné des Avenières. " là, à 8 mètres sous terre, Journoud se disait embusqué. contre les parois du poste, au milieu de ses fils électriques, pendant qu'au-dessus de lui pleuvaient les obus, il vivait de son rêve d'artiste /.../ le lieu était tout à fait propice pour réaliser son dernier rêve, hélas ! un projet qu'il voulait exécuter en 4 planches : la paix, la guerre, la mort, l'espérance."
J’ai
pleuré en écoutant la chanson de Craonne sur le site : http://wn.com/la_chanson_de_craonne-1917
Tout
mon imaginaire de petite fille trop curieuse qui lisait la guerre à livres
ouverts, toute cette souffrance, cette révolte que j’entendais dans les récits
du Père Cachard, notre voisin, est remontée dans mes yeux et j’ai laissé couler
sans honte, sans méfiance ...
1 commentaires:
C'est très touchant cette chanson, je ne la connaissais pas merci.
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