de la beauté des visages
Je trouve chez Maurice Blanchot
« le livre à venir » :
« … mettre à nu les
choses, nudité qui est comme celle d’un immense visage qu’on voit et qu’on ne
voit pas et qui, comme un visage, est lumière, l’absolu de la lumière,
effrayante et ravissante, familière et insaisissable, immédiatement présente et
infiniment étrangère, toujours à venir, toujours à découvrir et même à
provoquer, quoique aussi lisible que peut l’être la nudité d’un visage
humain »
Voir dans un visage, une nudité,
un parcours « toujours à découvrir. » et, empruntant le titre de
Blanchot : un visage à venir.
Ouvert à notre immensité.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil